Glaciers et canyons andins
- À partir de 5900 € /pers
- 17 jours et 14 nuits
En cette période magique des fêtes de Noël et du Nouvel An 2025, embarquez pour une aventure où les paysages majestueux des fjords chiliens et les vastes étendues vierges de l’Antarctique se conjuguent pour créer des souvenirs inoubliables.
Ce circuit a été élaboré par Fabiana, conseiller expert Argentine. Inspirez-vous de ce programme pour co-construire votre itinéraire avec nos conseillers-experts et personnalisez votre voyage selon vos envies.
Envol à destination de Santiago du Chili.
Hébergement à l’hôtel 5* Pullman El Bosque Santiago (ou équivalent) et Soirée libre
Découvrez Santiago, la capitale dynamique du Chili. Une ville qui allie harmonieusement histoire, culture et modernité.
Nichée au pied de la majestueuse cordillère des Andes, elle offre un paysage urbain unique, où les gratte-ciel côtoient les bâtiments coloniaux.
Ses nombreux parcs et espaces verts offrent des havres de paix au cœur de l’agitation citadine. Santiago est également un centre culturel vibrant, avec ses musées, galeries d’art, théâtres et restaurants proposant une cuisine locale riche en saveurs.
Les quartiers comme Bellavista ou Lastarria regorgent de boutiques, cafés et bars animés, créant une atmosphère cosmopolite et conviviale.
Petit dejeuner matinal à l’hôtel, puis transfert vers l’aéroport de Santiago pour votre vol intérieur vers Punta Arenas.
Accueil et transfert vers le port de Punta Arenas pour embarquer à bord d’Exploris One en fin d’après-midi
Navigation le long du glacier Grey dans le parc national Torres del Paine, au Chili.
Le glacier Grey est l’un des glaciers les plus emblématiques de la région, célèbre pour ses nuances de bleu profond et ses formations de glace spectaculaires.
Au fur et à mesure que la glace avance, elle se divise en plusieurs bras, dont les branches Condor et Aguila.
Le bras Condor est situé du côté nord du glacier Grey et est connu pour ses imposantes falaises de glace et ses formations de séracs impressionnantes.
Le bras Aguila, quant à lui, est situé du côté sud du glacier Grey et offre des vues époustouflantes sur les montagnes environnantes et le lac Grey.
Ces deux branches vous offrent une occasion unique d’admirer de près la majesté des glaciers patagoniens, que ce soit lors des sorties en zodiacs qui vous seront proposées, ou en les observant depuis les sentiers de randonnée du parc national Torres del Paine.
Un cadre majestueux pour célébrer ensemble un réveillon de Noël mémorable.
Apres une navigation le long du Canal de Cockburn, cap plein sud pour rejoindre le continent Antarctique. Selon les conditions météo, nous avons deux jours – peut-être un peu moins – pour nous préparer à la grande rencontre, à la forte émotion que vous êtes venus chercher dans le Grand Sud.
Lors de réunions d’information et vos premières conférences, l’équipe d’expédition attise votre esprit d’exploration. Celui-ci est inséparable de la préservation de l’environnement, notre leitmotiv commun. Aussi, en navigateurs conscients de notre impact sur le monde, mettons-nous à profit cette traversée pour nettoyer nos équipements de tout ce qui pourrait polluer les terres antarctiques lors de nos débarquements.
Une fois assainis, gants et bonnet servent aussi à filer sur le pont pour admirer le ballet synchronisé des vagues et des oiseaux. Damiers du Cap, pétrels géants et albatros sont du voyage. Leur vol infatigable donne le cap à notre route.
Au programme de cette traversée, le nettoyage de nos équipements d’expédition pour éviter de propager dans le Grand Sud quelque poussière ou micro-fragment de matière qui lui soit étranger. C’est l’occasion de faire connaissance avec notre équipe d’expédition en œuvrant à une tâche commune : préserver le continent blanc de l’impact de notre venue.
Deuxième moment, détailler notre itinéraire tout en nous réjouissant que la moindre opportunité puisse le modifier. Partir naviguer dans les glaces, c’est toujours se laisser surprendre par l’incertain soudain devenu possible.
Exploris One atteint l’Antarctique avec l’île de la Déception qui est le cône érodé d’un volcan actif, dont la dernière éruption remonte à 1967. Elle se trouve dans le détroit de Bransfield et fait partie des îles Shetland du Sud.
Nous retrouvons l’empreinte de la civilisation, en l’espèce de l’ancienne station baleinière de Whalers Bay. Ses vestiges impressionnent : fours pour faire fondre la graisse de baleine, maisons de bois pour les ouvriers, cimetière des péris en mer au cours de cette dangereuse industrie. L’Antarctique en a désormais terminé avec cette époque de massacres, autant dommageable pour la vie des hommes que pour la survie des espèces. Reste la poésie des ruines.
À la sortie de Whalers Bay, le massif de Baily Head abrite une colonie de manchots à jugulaire. Selon la météo, l’équipe d’expédition propre une randonnée sur les hauteurs de l’île pour, quelques heures encore, faire corps avec cette nature intouchée.
Aujourd’hui Paulet Island se dresse devant nous tel un joyau sauvage au cœur de l’océan Austral. Cette petite île, nommée en l’honneur du navigateur français Paul Auguste Antoine Fleuriot de Langle, offre un refuge vital pour une multitude d’oiseaux marins, notamment les majestueux manchots Adélie. Chaque saison, elle se transforme en une scène animée, où des milliers de couples se rassemblent pour se reproduire dans un spectacle naturel saisissant.
Paulet Island est un symbole de la beauté brute et de la résilience de la nature antarctique. Les cormorans impériaux survolent majestueusement ses côtes, tandis que les labbes antarctiques patrouillent au-dessus des eaux glacées environnantes. C’est un sanctuaire préservé, où la vie sauvage règne en maître et où chaque visite offre une expérience inoubliable, éveillant les sens à la beauté et à la fragilité de notre planète.
Puis, à l’horizon, un imposant relief brun aux reflets roux : voici Brown Bluff, littéralement « la falaise marron ». À l’entrée de la mer de Weddell, le rivage se laisse approcher dans un dédale de glace. Et quel rivage ! Le continent antarctique lui-même, foulé par des humains pour la première fois il y a deux cents ans seulement. À nous de ressentir l’émotion des pionniers. Le site nous permet de revoir le manchot Adélie. Rencontre encore plus précieuse car incertaine, le rare pétrel des neiges niche dans l’escarpement. Notre cabotage se poursuit dans le détroit de l’Antarctic, nom d’un navire dont les historiens du bord nous content l’expédition échevelée. Nous ne sommes pas à l’abri d’une croisière en zodiac impromptue pour voir de plus près la glace du pôle, venue jusqu’à nous.
Direction la baie de Lindblad Cove. Cette baie offre des paysages spectaculaires typiques de l’Antarctique, avec des montagnes imposantes, des glaciers majestueux et des icebergs flottants, vous offrant ainsi l’occasion d’admirer de près la beauté brute et préservée de ce continent reculé.
En plus de son paysage époustouflant, Linblad Cove est également un site de reproduction important pour les manchots et les oiseaux marins. Vous pourrez observer ces animaux dans leur habitat naturel, ajoutant une dimension unique à votre expérience en Antarctique.
Puis navigation vers la baie de Mikkelsen est une étendue d’eau située sur la côte nord-ouest de la péninsule Antarctique, dans la région de la Terre de Graham. Elle a été nommée d’après le navigateur danois Ejnar Mikkelsen, qui a été l’un des premiers à explorer cette partie de l’Antarctique au début du 20e siècle.
Nos débarquements, aussi nombreux que possible, se font tous « pieds dans l’eau » ‑ et bien sûr pieds dans les bottes. Ils nous permettent d’accéder à des endroits reculés sans besoin de quai ou de ponton. Ainsi, à Port Charcot, il nous faut souvent slalomer en zodiac parmi les icebergs pour atteindre les rivages où hiverna la première expédition antarctique française (1905).
Parfois, les conditions de glace empêchent de « faire tomber les zodiacs », aussi c’est à bord du navire lui-même que nous entreprenons la remontée du chenal Lemaire. Un moment de haute intensité que le commandant et les officiers partagent en nous ouvrant la passerelle. Voir les « bourguignons » (glaçons de la taille d’un tonneau de bourgogne – tchin !) plonger et céder sous la proue d’Exploris One est une expérience rare, digne de l’audace des marins d’autrefois.
Tout aussi héroïques nous paraissent les chercheurs britanniques de la base de Port Lockroy, qui passent tout l’été austral en plein cœur de la Péninsule. Ils nous accueillent dans la seule boutique à des milliers de kilomètres à la ronde, d’où ils se chargent d’envoyer vos cartes postales depuis la poste la plus au sud du monde. Passant quelques heures avec nous à bord d’Exploris One, ils témoignent du quotidien de leur « estivage » sous un soleil qui ne se couche jamais vraiment.
Paradise Bay est… le paradis pour une balade en zodiac. La mer y est souvent couverte de banquise disloquée par le retour de l’été austral : grâce à nos naturalistes initiateurs, nous savons lire dans cette géométrie glacée.
À Neko Harbour, nous écoutons alternativement les craquements d’un impressionnant glacier et les glapissements des manchots papous construisant leur nid. Leur façon d’âprement se disputer chaque caillou nous donne une sacrée contre-leçon de savoir-vivre… En bord de plage, un phoque de Weddell – ventre replet et museau rond de chat – digère sans se soucier de notre présence. Le jour se clôt sur l’émouvante impression d’avoir pu intimement dialoguer avec la nature.
La Baie Wilhelmina, surnommée la « baie des baleines » en raison de sa réputation comme site d’alimentation important pour les baleines à bosse et les baleines de Minke.
Une sortie en zodiac au milieu de baleines restera à jamais dans vos mémoires, et quoi de plus extraordinaire pour célébrer cette nouvelle année.
Elle a été nommée en l’honneur de la reine Wilhelmine des Pays-Bas par Adrien de Gerlache, un explorateur belge, lors de son expédition en Antarctique au début du XXe siècle.
Exploris One se lance de nouveau dans le passage de Drake. En repassant la convergence antarctique, cette ligne au-delà de laquelle la température des eaux remonte, nous quittons l’Océan austral pour l’Atlantique Sud. Nous entrons dans l’univers des 50e hurlants et des 40e rugissants. Parfois, tous les « fauves » sont domptés et la traversée se révèle un doux retour à la réalité.
Dernières conférences données par nos naturalistes, derniers échanges, de photos, d’adresses, de contacts… Pour que la fin du trajet ne soit pas la fin du voyage.
Durant cette dernière étape, pour conclure le passage de Drake et avant de naviguer le long du Canal Beagle pour rejoindre Ushuaïa, un dernier moment fort nous attend avec le passage du Cap Horn.
Passer le Cap Horn à bord d’Exploris One est une expérience à la fois captivante et enrichissante, qui vous offrira une occasion unique de découvrir la majesté de la nature et l’héritage maritime de cette région légendaire.
Débarquement en matinée, après le petit déjeuner.
Transfert vers l’aéroport d’Ushuaia pour votre vol vers Buenos Aires
Arrivée à Buenos Aires à mi-journée et vol retour vers Paris
En fonction de vos envies, de la saison, des disponibilités et de la période à laquelle vous réservez votre voyage, le prix de votre voyage varie sensiblement. Le prix juste sera établi, avec votre conseiller expert, au moment de votre devis.
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Nos concierges sont disponibles 24h/24, 7j/7 pour vous assister en cas de besoin, à tout moment.